8
janvier
2023
rentrée janvier 23
Bonjour à tous, voici ce qui s’annonce
au 10, rue Godefroid à 5000 NAMUR
mercredi
10h QiGong – debout/couché – apprivoiser le sol, diminuer l’appréhension de la chute
11h Taichichuan – 1ère partie de la forme longue
jeudi
10h QiGong – construire le corps global – gestion de l’espace
11h Taichichuan – 13 de base
vendredi
de 18.30 à 20.30h en continu : Jisei QiGong : fortifier et assouplir ; duo/duel pas à pas ; la longue forme, les 3 parties.
à l’école communale de Wépion, rue de Monin
en la salle de gym sur un beau plancher
mercredi
18.30h QiGong – construire le corps global – les animaux et la petite suite; souffle, rythme et déplacements.
Publié par Jean-Luc dans Actualité de l'école Réactions:
8
janvier
2023
Les Ateliers de La Main Franche. Voici un résumé de la progression – formation en Taichichuan
• La forme (la chorégraphie)
• Le QiGong (la vision énergétique) • Le Tui Shou (la relation duo/duel)
Niveau 1 : Base 13 et 13 de base
1. La chorégraphie : la forme 13 de base nous fait découvrir
• L’espace orienté – le centre et les 4 secteurs: déplacements sur les cardinales et diagonales.
• Les 8 modes d’expression de la force: Peng, Lu, An, Ji, Cai, Lie, Zhou, Kao.
2. QiGong : construire le corps global : mécanique et organique. “Les pieds bien sur terre “
• Les repères moteurs : corps visible/corps invisible:
o des pieds jusqu’aux hanches – liberté sur un pied, o du bassin jusqu’au crâne – coccyx/axis,
o le port de tête
• La notion de rouages énergétiques – chakras
o L’activation de la colonne vertébrale : les 6 animaux,
o les exercices de base michuan.
3. Tui shou – duo/duel : “ Peu d’effort, beaucoup d’effet”.
o Éducation de la sensibilité o Accepter sans résister, ni insister.
o Céder en se déplaçant sans rompre le contact.
Niveau 2 : 1ère partie (duan)
1. La chorégraphie : 1ère partie (duan)
• Forme longue: découvertes des variations sur l’expression de la force.
2. QiGong – construire le corps global : énergétique
Niveau 3 : 2ème partie (duan)
1. La chorégraphie : 2ème partie (duan)
• Forme longue: variations sur les applications des 8 techniques
2. QiGong- construire le corps global
• “Roule ta boule ”spirales et dragons. • Variations sur les ailes
• La petite suite
• Apprivoiser le sol
3. Tui shou : “Sentir, comprendre et transformer “ • Recevoir et rendre, retour à l’envoyeur;
• Les exercices éducatifs à partir de la garde; • Poussée horizontale à deux mains.
Niveau 4 : 3ème partie (duan)
1. La chorégraphie : 3ème partie (duan)
• Forme longue: variations sur les applications des 8 techniques
2. QiGong- construire le corps global
- Faire “commesi”, l’intention pour associer posture, souffle et geste
- Cultiver la robustesse: corps souple et résistant
- Apprivoiser le sol 3. Tui shou : “Sentir, comprendre et transformer librement“ • De la poussée à la percussion et réciproquement;
• Applications extraites des formes.
- Le propos est philosophique, la rencontre est au coeur du taichichuan, pensée et comportement fondent la relation à soi- même, à l’autre et au monde.
Tous les exercices sont progressifs et cumulatifs dans une pratique intégrative.
Cette progression n’est pas limitative, les formes de bâton court et long ainsi que l’éventail viendront s’ajouter au gré des envies et tous les apports extérieurs viendront enrichir le propos.
Publié par Jean-Luc dans Actualité de l'école, Articles de référence Réactions:
21
août
2022
Voici comment cela se présente à cette heure:
reprise le mercredi 14 août 2022
Au 10, rue Godefroid à Namur
mercredi 10h – Debout-couché-debout – faire confiance aux appuis – niveau 2
mercredi 11h – Taijiquan 1er duan – niveau débrouillés
jeudi 10h – Qi Gong – construire le corps : relâchement somato émotionnel – se réapproprier le corps – appuis, détente, alignement – niveau 1
jeudi 11h : TAichichuan – 13 de base – débutants
à lécole communale de Wépion rue de Colin 5100 – salle de gym
mercredi 18.30h – Qi Gong – les fondamentaux de la posture, la stature et l’allure : Les fondamentaux du Qigong déclinés sous différents angles d’intégration.
à l’IATA, rue de la montagne à Namur – salle des profs
mardi – 18h taichichuan 1ère partie de la forme longue
19h prenant appui sur la 1ère partie, les 2ème et 3ème parties seront développés progressivement.
20h – on file les formes en continu.
Publié par Jean-Luc dans Actualité de l'école, horaire de rentrée Réactions:
18
février
2022
Tai Ji Quan
La résistance souriante
Tenir et fleurir dans l’adversité.
En taichichuan, nous avons une pratique où l’on s’entraîne en duo, partenaire/adversaire pour s’éduquer conjointement à la résistance créative.
On change souvent de partenaires et chacun apporte ses qualités à l’échange
Cela s’appelle TUI SHOU que l’on traduit pauvrement par poussée des mains.
Il y a de la stratégie dans l’air : écouter, comprendre, transformer pour gérer les forces adverses sans gaspiller son énergie.
On y cultive :
– L’enracinement – c’est-à-dire l’établissement d’une posture ferme et redressée pour une présence tranquille sous le signe de la détente.
– l’écoute attentive et intériorisée, pour sentir venir l’action du partenaire – capter son mouvement et reprendre l’initiative – d’où vient la force, sur quoi s’appuie-t-elle, où s’applique-t-elle, que vise-t-elle, avec quelle intensité…
L’à-propos pour saisir l’opportunité et répondre en finesse. La posture s’organise de telle sorte que la poussée adverse soit conduite à la terre contre laquelle elle s’épuise ou qu’elle rencontre le vide sans trouver d’appui pour s’exprimer ou encore qu’elle ne puisse se développer parce qu’on étouffe son expression à la source.
l’ensemble dans un esprit de recyclage du type “retour à l’envoyeur” de telle sorte que l’attaquant soit déstabilisé ou contré par sa propre force. L’opposant n’est plus l’ennemi mais l’occasion de développer compréhension et adaptabilité.
On pourra avantageusement transposer cet état d’esprit, attitude et comportement à la situation politico-sanitaire que nous connaissons.
Répondre à la contrainte autoritaire sans perdre son identité, conserver son intégrité et cultiver la créativité.
Il y a lieu de chercher à comprendre la force adverse, d’où vient-elle, que veut-elle.
Savoir dire simplement NON MERCI, en restant calme alors même qu’on te pousse à faire quelque-chose que tu ne désires pas. Cultiver la non-réaction, laisser le discours intempestif et la plainte récurrente pour analyser la situation et trouver des solutions pour biaiser la contrainte dans un sentiment de liberté.
5 février 2022
suite au prochain numéro
TaiJiQuan – l’âme de la résistance souriante
La lecture de “ tous résistants dans l’âme” de Louis Fouché m’a inciter à formuler ce titre.
L’âme est le coeur de l’animation; sentir et ressentir en sont les agents.
On parle de l’animation du corps depuis sa mobilisation silencieuse autonome jusqu’à sa mobilisation volontaire.
On parle de l’animation de l’esprit dans son inspiration et sa quête.
Les sentiments enracinés dans le sentir et le ressentir nous mobilisent ( voir A. Damasio “ sentir et savoir” )
Il s’agit donc de prendre soin de soi, de son âme et partant, de son corps et de son esprit.
Le texte précédent parlait de l’entraînement duo/duel en TaijiQuan et de sa valeur dans la comportement à adopter face à l’adversité.
Ajoutons quelques détails de l’entraînement susceptibles de faire résonner la proposition.
a. De l’esprit
sur le versant mental, on active une attention sans tension, ouverte sur le propos et la circonstance. Il s’agit de ne pas s’éparpiller, de rester cohérent, les pieds sur terre et la tête haute. On ne dit pas qu’on est concentré, ce qui sous-entendrait une fermeture sur un objet mais bien centré.
Sur le terrain quotidien, centré, on gardera le cap en analysant les faits et les effets proches. On n’oubliera pas les faits éloignés par une distance physique ou temporelle, en restant attentif aux expériences antérieures.
On aura la curiosité de considérer les faits qu’une distance intellectuelle ne nous rend pas directement accessibles. L’expérience des autres dans leurs compétences propres est à considérer même quand son récit ne coïncide pas immédiatement avec notre compréhension.
Il convient dès lors de chercher des sources fiables, à côté et souvent différentes du récit officiel asservi à la politique commerciale et dominatrice des Grands Argentiers du monde.
Seul, sans l’aide des autres, impossible de progresser ni dans notre propre entendement ni dans la compréhension de l’origine et l’évolution de la situation.
sur le versant affectif on soigne la détente et l’ouverture aux autres sur le mode souriant avec une confiance attentive cherchant l’accord et le possible lien.
sur le versant prospectif ont met en oeuvre une stratégie tenant compte des forces en présence; pas question d’affronter brutalement mais on ruse, on contourne ou esquive pour passer de biais dans une posture digne.
b. Du corps
La disponibilité se cultive et s’entretient par une flexibilité tonique, souplesse et robustesse sont de la partie. Cela part demande de prendre distance d’avec soi-même et de constater l’écart entre celui ou celle que l’on pense être et ce corps qui réagit à notre insu, par sa posture et son comportement.
Tensions excessives, faiblesses partielles, énervements ou pétrifications autant d’indices qui notent le défaut d’adaptabilité. Ce n’est que lorsqu’on prend conscience d’un manque que l’on peut commencer à y remédier.
c. Du souffle enfin
c’est lui le coeur de l’animation comme de la ré-animation. Le souffle dans sa fonction respiratoire pour ne pas perdre haleine et le souffle dans sa fonction mobilisatrice pour ne pas stagner.
Rester en mouvement et en forme, ni dégonflé ni sur-gonflé.
Tout cela entre dans nos pratiques TaijiQuan. La rencontre duo/duel est alors l’occasion d’améliorer notre bien-vivre en jouant consciemment des repères évoqués ci-avant.
On l’aura compris, je parle de mon point de vue taijiquaneur mais l’essentiel se retrouve sur tous les terrains – ne pas s’arrêter aveuglément à ce que l’on croit et ouvrir la relation aux autres pour devenir ensemble plus humains.
11 février 2022
Publié par Jean-Luc dans Actualité de l'école Réactions:
7
octobre
2021
TaijiQuan un art martial utile à la société ?
Le TaijiQuan est un art martial, il développe la capacité à combattre.
Le combat n’est pas la guerre.
L’art du combat se joue dans la relation à l’autre, dans la gestion d’un rapport de force contrairement à la guerre qui pointe l’ennemi et vise à sa destruction.
L’un participe au développement de la personne, l’aide à s’individualiser au sein du groupe, l’inscrit dans un tissu de relations.
L’autre se fonde sur la survie et nie l’individu qui devient soldat, pion ou ennemi, pièce interchangeable d’une machinerie sans visage.
L’art martial éveille la conscience du combattant fondée sur une meilleure compréhension de soi et de l’autre; l’enjeu étant de tenir un équilibre dynamique entre des forces contradictoires.
Combat avec soi-même, combat avec l’autre, recherche d’une adaptation réciproque pour une convivialité plus équilibrée où l’on tient compte des forces en présence, la sienne, celle de l’adversaire, celle du contexte et du moment.
En TJQ, on invite à écouter pour comprendre et pouvoir transformer la situation avec intelligence. Sentir voire pressentir la faille à exploiter pour obtenir beaucoup d’effet avec peu d’effort.
Avec cet esprit et dans le contexte de totalitarisme doux que nous connaissons, nous pourrions mettre ces qualités au service de l’avènement d’une société plus désirable. L’adversaire n’est pas facile à identifier derrière les multiples facettes que prend la domination de l’argent dont les pouvoirs politiques, administratifs et les media se font le plus souvent les serviteurs.
Face au pouvoir et à la force, pas question d’un affrontement direct. Observer pour comprendre.
Heureusement des observateurs avisés, enthousiastes, bien informés et compétents nous aident ( Conseil Scientifique Indépendant, Reinfocovid, France soir, sud radio, IHU, réaction 19 et bien d’autres repris sur crowdbunker.com… ). Cela permet de prendre conscience et de mieux voir les variations sur le thème de l’aliénation et de la domination qu’on nous infligent.
Que faire sinon activer en soi ces qualités taijiquan développées par la pratique solitaire et solidaire, seul et en groupe.
La résilience, robustesse et souplesse en sont une pour se faire confiance, supporter la situation et tenir ses résolutions vers une société plus vivable.
Le redressement, l’alignement postural et la dynamique du souffle en sont une autre, pour garder la tête haute et respirer la noblesse des sentiments qui nous animent.
La détente et la clarté d’esprit encore une autre, pour ne pas se crisper sur la contrainte et rester disponible pour l’analyse et le choix des solutions.
Vient enfin l’art d’entrer en relation, la disponibilité et l’écoute de l’autre, la capacité à sentir et pressentir le geste qui vient et à produire la réponse adaptée, stratégie et diplomatie.
Puisse notre pratique taijiquan nous motiver à une implication dans la société que l’on souhaite voir advenir.
Un combat pacifié où nos paroles, nos attitudes et nos actes éveillent le respect (parfois l’animosité), cultivent le lien et créent du mieux-vivre ensemble.
Jean Luc Perot octobre 2021
Publié par Jean-Luc dans Actualité de l'école, Articles de référence Réactions:
7
février
2021
Le 7 février 2021
https://vimeo.com/509510280
Publié par Jean-Luc dans Actualité de l'école Réactions:
7
février
2021
7 février – pour compléter le 1er duan
https://vimeo.com/501048997
Publié par Jean-Luc dans Actualité de l'école Réactions:
26
janvier
2021
4ème temps de la présentation posture, stature, allure,
5. La signature http://VID_20210126_101226.mp4
Le mouvement du corps et les gestes.
Donc, on s’est posé, on a pris nos repères, on sait vers quoi on tend, eh bien, bougeons maintenant !
C’est un besoin, une hygiène et un plaisir.
Aller se balader, gambader, courir, chanter, gesticuler, danser…
On a la bougeotte, c’est un besoin qui s’exprime spontanément – on bouge, on s’étire, on remue pour se délier les membres, pour se dégourdir et sortir des contraintes qui nous figent.
Chacune et chacun sa manière de s’activer, de laisser s’exprimer l’émotion qui le mobilise, joie et pleurs, peur ou colère, toutes les forces qui nous poussent à agir.
La gestuelle nous est propre, que l’on articule ou gesticule, que l’on conduise des gestes élaborés ou des gestes spontanés, elle porte notre signature.
On sait combien la société valorise les formes reconnues du sport et de l’art-spectacle susceptibles d’être monnayées commercialement ou politiquement; on sait aussi que la bien-séance laisse peu de place à cette salutaire expression d’énergie qui se retrouve dès lors souvent récupérée par des approches dites thérapeutiques.
Mais, rien ne nous empêche de lever la soupape de laisser libre cours au défoulement : Marcher, courir, danser, nager, chanter, crier…Mieux vaut évacuer la tension accumulée dans des formes socialement acceptables que de laisser éclater sa violence ou de s’inhiber dans une auto-répression qui mène à la dépression.
Se défouler, c’est salutaire Mais, il y a mieux !
Ces forces vives qu’on pourrait dire sauvages peuvent aussi être cultivées et dynamisées dans des approches artistiques qui partant de la personne telle qu’elle se présente, se proposent de construire, corps et âme une belle individualité en résonance avec les autres.
Un peu prétentieux, peut-être, mais c’est ainsi que je vois l’esprit et la pratique taichichuan.
Le corps habité et exercé comme occasion de penser, d’entrer en relation pour se penser soi et penser l’autre, partenaire ou adversaire.
Ainsi cultivés, nos mouvements et nos gestes deviennent une présence qui compte, un témoignage en action.
On soigne et conduit cette envie de bouger sans ostentation et sans se laisser inhiber par le regard des autres qu’à l’inverse même, on accueille car il aide à quitter les faux-semblants et le souci de faire “comme il faut”.
L’autre, juge potentiel devient partenaire bienveillant et exigeant.
L’affaire n’est pas simple pour autant.
A moins qu’on ne s’estime achevé dans un personnage, un statut ou une fonction, rien n’est conclu une fois pour toutes.
NON, le verbe ÊTRE est un infinitif.
Rien de définitif, on devient et ce devenir en appelle au futur.
“ Souviens-toi de ton futur” dit le Rabi Nahman de Braslav, tu n’es par réduit à ce qu’on a dit et fait de toi, ni à l’image que tu t’en fait.
Mets-toi à l’écoute de ce qui t’appelle, de ce que te admire ou envie, sors de la croyance à une identité définitive.
Il importe d’être à ce que l’on fait, “Fais ce que tu fais” et de pouvoir signer nos oeuvres aussi banales soient-elles sachant cette signature n’est pas définitivement écrite, que la graphie peut évoluer, surtout si elle entre dans la danse, si elle danse.
Ainsi, la chorégraphie Taichichuan, est un chantier et l’investissement dans l’exercice participe pleinement à la transformation, l’artiste et l’oeuvre sont intimement enlacés, en quête d’autonomie.
Il y a bien un passage obligé, un autre nous enseigne à gérer les gestes et les postures, il y a des principes et cela s’apprend.
Ton modèle sera maître ou compagnon, à toi de choisir pour autant qu’il ait un peu plus de maîtrise pour t’emmener plus avant.
Son influence est en rapport avec la clarté et la fermeté de ton désir.
“Quand l’élève est prêt, le maître est là “ dit-on et, j’ajoute “Quand l’élève est là, le maître s’élève”.
La réciprocité demande la présence active de l’un et de l’autre.
C’est un consentement mutuel, que l’engagement soit formulé ou tacite. Si une partie ne remplit plus son rôle, la relation se suspend, l’un et l’autre vont chacun leur chemin, c’est là la logique du contrat.
Pas d’asservissement, pas de soumission au dominant, pas d’esprit sectaire mais un choix partagé où il n’y a pas à faire semblant.
Que ton style, ta signature ne soit pas forcée ou copiée, c’est de toi qu’il s’agit, elle t’engage, où que tu sois sur le chemin.
Posture, Stature, Allure et pour conclure, ta signature, mes quatre temps fondamentaux dans l’élaboration et la fréquentation de soi.
Publié par Jean-Luc dans Actualité de l'école Réactions:
19
janvier
2021
19 janvier – toujours dans l’idée d’associer une approche QiGong à des séquences de la chorégraphie TaiJiQuan
https://vimeo.com/501144036
Publié par Jean-Luc dans Actualité de l'école Réactions:
16
janvier
2021
L’idée de faire une vidéo sans inverser l’écran m’est venue et je l’essaye avec Le 1er duan.
https://vimeo.com/501048997
Publié par Jean-Luc dans Actualité de l'école Réactions: