14
août
2013
Envie de se reprendre en main, besoin de se défouler, désir de changer, de s’échapper, de se vider ou de se remplir…
Le STRESS dit autant l’angoisse que l’énervement, la lassitude que l’agitation, la frénésie des désirs que la perte du goût et de l’envie.
Il signe et signale un désaccord intime .
Tu es à côté de tes pompes, sans écouter ni tes besoins ni tes souffrances,
Echoué dans un personnage, tu vis en te conformant à des idées toutes faites.
» Apprendre à sentir les tensions parasites, tristes et inutiles,
Ressentir l’effet du sourire qui dissout les crispations et les noeuds
Consentir à lâcher ce qui encombre le corps,la tête et le coeur. »
Une pratique régulière et harmonisée aux Ateliers de LA MAIN FRANCHE peut répondre à ce manque à vivre.
On y joue du corps en postures, étirements et mouvements fluides
On y joue de l’esprit, associant l’attention et l’intention pour affiner l’écoute
On y joue du souffle pour aspirer et souffler, sentir et ressentir
On y joue de la présence pour savourer la force de la douceur.
Il y a du silence et de la musique, des mots et des images.
Choisis tes vêtements et ton heure, la porte est ouverte !
Publié par Jean-Luc dans Actualité de l'école, Articles de référence
Mot(s) clé(s): chi, chuan, Qong, stress, tai
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14
septembre
2008
La rentrée, c’est le moment des bonnes décisions alors, voici un petit encouragement à se lancer avec l’envie de s’y remettre, le désir de changer, le besoin de se retrouver, …
Sous l’appellation stress, se cache le manque d’enthousiasme pour un quotidien surchargé ou l’indolence face à la lassitude des jours. Une activité physique régulière et organisée comme le Jisei Taichichuan offre une réponse naturelle à ce manque à vivre.
En effet, le Jisei Taichichuan, permet d’apprendre à reconnaître les tensions parasites, à accepter le sourire qui fait fondre les crispations et de laisser sortir ce qui encombre le cœur et la tête.
Le Stress, une histoire banale
L’excès d’information que l’on ne peut gérer, la performance qu’exige la réussite, l’incertitude du lendemain, les besoins réprimés, les désirs insoupçonnés, le peu de satisfaction et de plaisir inhibent notre capacité naturelle à agir et réagir. La tête et le cœur s’alarment, les défenses sont convoquées mais ne pouvant se résoudre dans l’action, elles s’impriment en tensions qui brident le mouvement : on est mal, on bouge peu ou mal et on compense en consommant plus. Lire la suite de cette entrée »
Publié par Jean-Luc dans Actualité de l'école, Réflexions personnelles
Mot(s) clé(s): ki, Qi Gong, Souffle, stress, tai chi, tai chi chuan, Tai Ji Quan
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